Aujourd’hui le nombre de fumeurs baisse et pourtant il y a encore un peu plus de quinze millions de personnes dans notre pays qui continuent, chaque jour, à allumer une cigarette.
Malgré la hausse du prix du tabac, les images choc sur les paquets et la communication de santé publique morbide … Environ 1 français sur 4 continue de s’en griller une petite, expression affectueuse que les personnes qui ont un challenge avec le tabac s’évertuent à garder pour certainement se dédouaner de la dangerosité du produit.
Ces personnes, on les appelle généralement les « fumeurs » une étiquette qui nie l’identité de chaque individu qui consomme du tabac.
Oui derrière chaque « fumeur » se cache une femme, un homme, avec un âge, une vie, des passions, des peurs, des valeurs, des espoirs, des objectifs … Un être humain avec des forces et des faiblesses.
Aujourd’hui il y a différentes méthodes pour accompagner le sevrage tabagique d’une personne qui désire cesser avec ce comportement que d’aucuns qualifient d’une addiction alors que ça ressemble plus à une habitude.
Une habitude ça se change me direz-vous ! Certes mais c’est un peu plus complexe que de se passer de sucre dans le café , même si ce simple petit changement est fastidieux pour bon nombre d’individus.
Pour certains, fumer est devenu un besoin, comme l’est le fait de respirer.
Beaucoup ne font plus la différence entre petit plaisir éphémère à la satisfaction immédiate et besoin vital.
Des chercheurs ont récemment découvert que la nicotine, présente dans le tabac, avait la particularité de fixer, dans une partie du cerveau, des souvenirs pour en faire des évènements majeurs de notre vie. Ainsi tous les moments importants de l’existence passés en compagnie d’une cigarette prennent une place prépondérante … la fin d’un repas joyeux avec des amis très chers, la pause après des heures de travail acharné, l’inspiration de l’écrivain face à la page blanche, le réconfort lors d’un événement douloureux ou le partage d’un moment de complicité intime. Naturellement le cerveau incite la personne qui consomme du tabac à créer, encore et encore, des événements similaires.
Une fois que l’on comprend cela on voit bien que ce n’est pas la culpabilisation excessive de la personne consommant du tabac, la menace du spectre de la mort prématurée ou encore l’exposition de la manipulation des cigarettiers qui suffiront, à eux seuls, à enclencher le sevrage et à le faire durer dans le temps dans un équilibre écologique pour le candidat à la liberté.
Bien souvent, c’est le contraire qui se produit, bon nombre d’individus vont se réfugier dans leur tour d’ivoire entourés de voiles de fumée qui les rendent hermétiques à tout message moralisateur ou culpabilisant.
Les racines qui poussent une personne à inhaler du tabac sont nombreuses et il y en a probablement autant qu’il y a d’individus.
Une soupape anti stress, un dérivatif à la déprime, le prolongement d’un réflexe de succion pour combler un manque, le moyen d’appartenir à un groupe, la recherche d’une émancipation, s’affirmer face à un tabou ou un interdit, se donner une contenance, se cacher face à une réalité dérangeante … Bref la liste pourrait faire l’objet d’une encyclopédie.
Si l’on veut accompagner efficacement le sevrage tabagique d’une personne qui en fait la demande, grâce à l’hypnose et la visualisation, il faut, avant tout, enlever l’étiquette de « fumeur » de la personne pour comprendre sa personnalité, sa psyché … Comprendre ses forces et faiblesses et actionner les leviers qui vont permettre son autonomie face à une habitude engrammée au plus profond de son cerveau.
Dissocier les comportements bien sûr mais aussi définir un objectif unique et émotionnellement fort qui ne peut pas être celui du voisin.
Personne ne s’habille de la même façon, ne mange les mêmes repas, ne marche à l’identique … alors pourquoi une séance d’hypnose unique et calibrée une fois pour toute fonctionnerait pour 15 millions d’individus tous plus différents les uns que les autres ?
Avec la méthode JIA©, nous partons de l’ennéagramme, une typologie vieille de 2000 ans, pour comprendre la base des profils des différents candidats au sevrage tabagique, les atouts, les risques, les leviers et établir une stratégie propre à faire émerger l’excellence de chaque individu et éclairer son chemin de réussite.
Car, malgré toutes les promesses commerciales de séances d’hypnose en une heure pour se débarrasser définitivement du tabac et devenir non-fumeur à grand renfort de marketing, le sevrage tabagique est une expérience unique propre à chaque individu qui se fera accompagner par un praticien formé et rompu à l’exercice, apte à exercer son art en ciselant sa stratégie tel l’orfèvre qui fera étinceler le diamant qui sommeille en chacun.
Tout comme l’accompagnement du poids, le sevrage tabagique demande du « sur-mesure ». Comprendre le fonctionnement de l’individu, lui faire définir un objectif d’où le problème est absent, mettre en perspective le temps qu’il s’accorde, écouter ses craintes et ses forces pour l’accompagner, tel un guide de montagne dans son ascension vers la réusssite.
Le sevrage tabagique ne s’improvise pas et la qualité de votre accompagnement fera la réputation de votre cabinet. Formez vous réellement de manière pratico-pratique, apprenez des techniques et stratégies efficace en devenant « praticien(ne) certifié sevrage tabagique Méthode JIA© » et répondez sereinement à la demande grandissante des personnes qui veulent être accompagnées dans leur réussite.
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